La Passion de l'Église

Articles de fond

  • Le Retour des juifs à Jérusalem & en terre d'Israël dans nos temps modernes : signe formel de la fin des temps.

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  • La vraie et seule solution du problème de la cohabitation des juifs et des arabes en Terre sainte, ou le miracle extraordinaire de la théandrie.

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  • La canonisation de Jean-Paul II : une "si grande contradiction" (He XII, 3).

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  • L'Antéchrist-personne devant clore notre fin des temps sera-t-il... le dernier pape LÉGITIME de l'Église catholique ?

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Christ crucifié souriant

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Marie sur la croix

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............... Que c'est un complot absolument universel de toutes les mouvances catholiques en présence d'OCCULTER SOIGNEUSEMENT CETTE GRANDE VÉRITÉ DE LA PASSION ACTUELLE DE L'ÉGLISE, DANS L'ATTENTE DE SA MORT IMMINENTE...
 
 
       ... que je viens de vous énoncer. Ce qui, du reste, est autant le fait des mouvances modernes que celles traditionalistes (pourtant, ces dernières ont contradictoirement bien pris en compte dans leur spiritualité la réalité de "la crise de l'Église", ou bien plutôt faudrait-il parler d'une partie seulement de cette réalité, car elles n'en discernent ni l'essence ni la cause profonde). Il faut d'ailleurs constater une chose très-remarquable : toutes les mouvances catholiques actuelles sont en désaccord profond entre elles, s'excommuniant réciproquement dans une cacophonie & zizanie invraisemblables (dont sûrement seule l'ambiance autour de la tour de Babel pourrait donner une idée), sauf sur ce SEUL point d'expurger radicalement de leur spiritualité la réalité de "LA PASSION DE L'ÉGLISE"... Ceci est d'ailleurs signe topique de cela : refusant "LA PASSION DE L'ÉGLISE" qui est la Vérité actuelle de Dieu incarnée dans son Église, elles n'ont donc pas la grâce de vivre entre elles dans l'Unité, d'être "un seul cœur, une seule âme, un seul esprit" (Eph IV, 3-4).
 
        Ainsi, pour en rester aux traditionalistes qui m'occuperont principalement sur ce site, commençons par voir comment Mgr Lefebvre & ses fils prêtres actuels occultent, pour leur part et celle des fidèles qui les suivent, cette réalité contemporaine de "LA PASSION DE L'ÉGLISE". On les voit se tirer de la contradiction-crucifixion que manifeste Vatican II, inhérente à "LA PASSION DE L'ÉGLISE", en réduisant hérétiquement à peau de chagrin le cadre formel du Magistère ordinaire & universel d'enseignement simple, non-définitif, de soi doté de l'infaillibilité : il leur est facile, par après, de dire que les actes à problème de Vatican II ne sont pas une formelle expression dudit Magistère infaillible et que donc il n'y a aucune contradiction essentielle avec la constitution divine de l'Église si l'on trouve de l'hérésie dedans ; ou, autre option, ils osent dire qu'il peut exister une "situation d'exception" qui légitimerait soi-disant au nom de la Tradition de ne pas tenir compte du Magistère ordinaire & universel infaillible des "membres enseignants" actuels réunis una cum le pape (comme si, en présence d'un pape qu'on reconnaît être vrai pape, il était théologiquement possible de faire du "libre-examen" protestant de son Magistère, en matière de foi, de mœurs, de discipline générale...!). Ce type de raisonnement étant tenu, on l'a déjà compris, pour éviter d'embrasser la réalité authentique de la Passion d'une Église écartelée, pendue lamentablement à la croix d'un décret magistériel doté de soi de l'infaillibilité et contenant pourtant une formelle hérésie.
 
        C'est en effet trop facile à comprendre : si l'on dit que la Liberté religieuse est une hérésie formelle mais que le cadre magistériel dans lequel ce décret a été promulgué n'est pas doté de l'infaillibilité, alors, nous restons dans une situation historico-canonique normale ; ce décret est un lapsus sûrement très calami, certes fort regrettable, mais la constitution divine de l'Église n'en est pas atteinte le moins du monde, autrement dit nous ne vivons pas ecclésialement l'économie de la Passion du Christ où le principe de non-contradiction ne tient plus, l'Église ne vit pas cette "si grande contradiction" du Christ en croix, comme l'appelle saint Paul dans sa Lettre aux Hébreux (XII, 3-4)... Cependant, pour le dire en quelques mots seulement ici, la vérité c'est que le décret de l'hérétique Liberté religieuse, pour en rester à celui-là qui a théologiquement valeur d'exemplaire pour toute "la crise de l'Église", est un acte formel de ce Magistère ordinaire & universel doté de soi de l'infaillibilité ecclésiale. Les lefébvristes qui le nient, ou qui déclarent une situation "d'exception" confirmant soi-disant la règle générale, ne sont, sur cela, tout simplement... pas catholiques. La position lefébvriste en effet, réfutée en profondeur sur ce site, est profondément ANATHÈME. 
 
        Poursuivons avec les sédévacantistes : quant à ceux-ci, ils ont quitté la ville sainte, Jérusalem, mais ce n'est pas, eux non plus, pour monter au Calvaire rédempteur, il s'en faut hélas de beaucoup (on les voit plutôt se confiner dans des ghettos zélotes, extra-muros, d'esprit profondément sectaire et obscurantiste). Pour occulter "LA PASSION DE L'ÉGLISE" dans leurs âmes et éviter d'en goûter le fiel salvifique, ils se sont dit que la contradiction constatée entre un décret magistériel de soi doté de l'infaillibilité et son contenu doctrinal formellement hérétique, signifiait que le signataire pontifical, à qui il est théologiquement commis de mettre en oeuvre l'infaillibilité dans l'Église, n'était pas pape. Voilà certes qui semble radicalement solutionner le problème, mais, mais... à la manière du propriétaire d'un chien galeux qui prendrait son fusil de chasse et tuerait le malheureux chien : un chien mort, effectivement, n'a plus la gale, donc le problème est solutionné ! Or, dans ma parabole, ce chien galeux, c'est l'Église malade de Vatican II, que donc le sédévacantiste tue dans son âme en supprimant ses papes (tuer le pape légitime dans son âme, c'est en effet y tuer ipso-facto l'Église). Car théologiquement, il est tout-à-fait impossible de soutenir que les papes de Vatican II & post ne sont pas papes, c'est nier une vérité implicite à croire de Foi, de fide, qui est la règle prochaine de la légitimité pontificale, à savoir qu'un pape reconnu et accepté par l'Église Universelle (ordinairement représentée pour ce faire par le Sacré-Collège cardinalice dans sa majorité canonique, et lui seul), receptus & probatus, est infailliblement vrai pape, "verus papa" (Pie XII). La reconnaissance & l'approbation par l'Église Universelle de la qualité de pape sur un homme est de l'ordre du fait dogmatique, de soi évidemment toujours doté de l'infaillibilité.
 
        Or, bien sûr, les papes de Vatican II ont tous dûment & canoniquement bénéficié dudit acte de reconnaissance ecclésiale universelle de leur qualité de Vicaires du Christ, de Jean XXIII à François inclus, ce qui signifie qu'ils sont certainement... vrais papes. Le pape, en effet, nous est donné par l'Église Universelle, et ce que le sédévacantiste ne comprend pas, c'est que le simple fidèle n'a aucun droit de regard sur la légitimité pontificale. Moins encore, s'il se pouvait, a-t-il théologiquement droit de regard sur la Foi du papabile puis du pape, à en faire l'examen au sens fort de "juger la Foi du pape", c'est-à-dire avec le pouvoir de déchéance au cas où l'examen s'avèrerait négatif ; cet examen-jugement est théologiquement commis de droit divin aux SEULS cardinaux de la sainte Église romaine, représentant immédiatement, pour ce faire, l'Église Universelle ; les simples fidèles comme les prêtres et mêmes les évêques, je veux dire tous ceux qui dans l'Église du Christ ne sont pas cardinaux de la sainte Église romaine, ont certes la faculté de procéder intellectuellement audit examen, mais cet examen purement intellectuel n'a aucune incidence pour déchoir le pape trouvé défaillant dans son Magistère, autant d'ailleurs pour soi-même que pour son prochain. La position sédévacantiste, réfutée sur ce site elle aussi en profondeur, est donc, comme celle lefébvriste, singulièrement ANATHÈME. 
 
        Passons, pour ce court et synthétique Mot d'Accueil, la position "guérardienne" (qui, le visiteur pourra s'en convaincre dans la rubrique idoine, n'est qu'un sédévacantisme mitigé basé sur la folie pseudo-philosophique de vouloir, dans la personne réelle et vivante d'un pape actuel, faire subsister la matière pontificale seule sans sa forme), pour arriver à la "solution" des "Ralliés". Quant à ceux-ci, pour obvier et esquiver la réalité ecclésiale contemporaine de "LA PASSION DE L'ÉGLISE", ils veulent croire et faire accroire, derrière les papes du concile, que le contenu doctrinal du décret de la Liberté religieuse peut revêtir un sens orthodoxe, ou, mieux dit : qu'il est rigoureusement impossible qu'il soit vraiment hétérodoxe, à cause de l'infaillibilité du Magistère ordinaire & universel d'enseignement dont Dignitatis Humanae Personae est un acte formel. Et donc il ne peut qu'y avoir, et donc encore il y a sûrement, et donc enfin il est absolument interdit de soutenir et même de seulement penser fugitivement le contraire, un "joint", un fil d'Ariane mystérieux, entre la Tradition et la Liberté religieuse : c'est la fameuse et non moins fumeuse "herméneutique de continuité" soutenue par le pape Benoît XVI, vœu pieux certes respectable puisqu'il s'appuie sur un considérant de la constitution divine de l'Église, mais qui ne peut trouver, ... et pour cause !, aucune assise, la plus petite soit-elle, dans la dogmatique catholique. L'"herméneutique de continuité" n'arrive pas à poser les pieds par terre, et ne le pourra JAMAIS. La raison bien simple en est que la doctrine, ou plutôt l'anti-doctrine, de la Liberté religieuse est hélas formellement hérétique dans la lettre même du texte magistériel.
 
        Il n'est besoin, pour en être convaincu, que de lire par exemple l'abominable § 5 du décret conciliaire. Quel père de famille catholique, conscient de ses responsabilités parentales devant Dieu et les hommes, pourrait en effet bien y lire ce qu'osent dire les Pères de Vatican II, sans en rougir de honte jusqu'à la crête, et que voici : chaque famille, en tant que société jouissant d'un droit propre et primordial, appartient le droit d'organiser librement la vie religieuse du foyer sous la direction des parents. À ceux-ci revient le droit de décider, dans la ligne de leurs propres convictions religieuses [!!!], la formation religieuse à donner à leurs enfants". Est-ce qu'on se rend bien compte de ce que peuvent déduire de ce texte abominable, mais texte magistériel conciliaire, les parents non-catholiques, croyants dans des faux-dogmes ? Desquels se déduisent des attentats directs contre la dignité humaine de leurs enfants, puisque, d'une part, "il n'y a rien de plus pratique qu'un principe" (Mgr Duchesne), et d'autre part, seuls les principes de la vraie religion, celle catholique, peuvent générer une formation parentale de l'enfant respectant intégralement sa dignité humaine ? Sans y attenter d'aucune sorte, comme le font, peu ou prou, TOUTES les fausses religions ? Ainsi donc, l'atroce coutume de l'excision sexuelle des fillettes africaines nées pour leur malheur dans des foyers idolâtres tirant de leur idolâtrie, pardon, de "leurs propres convictions religieuses", cette pratique abominable, est, dans ce scandaleux et inouï DHP § 5, abominablement cautionnée et même proclamée agressivement par les Pères de Vatican II comme un... droit légitime des parents à la Liberté religieuse, dont les Pères de Vatican II una cum Paul VI ont osé nous dire, dans DHP § 2, qu'il était... "APPUYÉ SUR LA PAROLE DE DIEU" !!!
 
        On l'aura compris : il ne s'agit donc nullement d'une question d'"interprétation" qui doit être faite de la Liberté religieuse... "à la lumière de la Tradition" (!) ou bien non, c'est la lettre magistérielle elle-même qui est formellement (et abominablement) hérétique. En vérité, je vous le dis : le contenu doctrinal et pratique du décret sur la Liberté religieuse est si ennemi de la dignité humaine véritable, singulièrement celle de l'enfant comme nous venons de le voir concrètement avec DHP § 5, que son vrai titre devrait être : Indignitatis Humanae Personae, de l'Indignité de la personne humaine. Il n'a qu'un avenir, qu'on lui mette une meule au cou et qu'on le jette au plus profond de la mer. La position "ralliée", également réfutée très à fond sur ce site, est donc encore bien, elle aussi, elle encore, et bougrement, et fichtrement, ANATHÈME.
 
        Et si toutes ces positions pseudo-théologiques sur la "crise de l'Église" sont hérétiques, schismatiques, anathèmes, et sûrement les trois à la fois, c'est pour la raison fondamentale qu'elles ne veulent pas intégrer dans le raisonnement théologique la réalité de "LA PASSION DE L'ÉGLISE", que justement j'ai pris à tâche d'exposer le mieux qu'il me soit possible sur ce site. En fait, elles ne sont que des fuites honteuses et lâches, similaires à celles des onze Apôtres sur douze fuyant la Passion du Christ, lorsqu'elle s'est déroulée pour Lui. Car la vérité vraie, authentique, de notre situation ecclésiale issue de Vatican II, c'est que l'on reste avec l'énoncé du problème théologique suivant, indestructible, solide comme roc, à savoir que Vatican II montre vraiment, indubitablement : UN PAPE LÉGITIME UNI A TOUTE L'ÉGLISE ENSEIGNANTE PROMULGUANT DANS LE CADRE DU MAGISTÈRE INFAILLIBLE UNE FORMELLE HÉRÉSIE.
 
        Or, que le catholique se rassure, aux antipodes absolus de vouloir signifier que, par-là même, "les portes de l'enfer ont prévalu contre l'Église", cela signifie tout au contraire que l'Église vit sa propre et personnelle Passion, à l'instar de celle du Christ-Époux, "faite péché pour notre salut" (II Cor V, 21) comme Lui l'a été, un péché bien entendu simplement matériel, sans coulpe aucune. Loin donc d'être vaincue par cette situation, c'est au contraire là, hic et nunc, qu'elle vainc le mal et Satan, en devenant effectivement co-Rédemptrice. Tant il est vrai, à propos du Christ qui vécut la Passion archétypale, que "c'est POUR cette Heure que Je suis venu". C'est donc POUR MAINTENANT, pour nos jours apocalyptiques au sens premier de "révélation", que l'Église-Épouse du Christ est née il y a deux millénaires du Sacré-Coeur du Christ, ex corde scisso Ecclesia, Christo jugata, nascitur (hymne de la messe du Sacré-Coeur) : POUR cette heure présente où elle devient effectivement co-Rédemptrice. C'est cela qu'il faut comprendre de la situation. Car, pour le dire ici en quelques mots brefs seulement, qui bien sûr appellent précisions et compléments qu'on trouvera sur la page consacrée à l'exposé théologique complet de "LA PASSION DE L'ÉGLISE", l'Épouse du Christ n'est pas plus vaincue ni convaincue d'imposture lorsqu'elle vit sa Passion, qu'enregistre bel et bien notre situation atroce issue de Vatican II ("l'Église aura une crise affreuse", avait fort bien annoncé Notre-Dame à La Salette), que lorsque le Christ eut à vivre sa propre & personnelle Passion il y a 2 000 ans. Attendu que la croix du Christ fut le principe même de l'accomplissement de la Rédemption ; plus même : sans elle, pas de Rédemption (c'est pourquoi saint Paul disait : "Je crois en Jésus, et en Jésus crucifié"). Ainsi en est-il, bien compris, de Vatican II, croix mortelle de l'Église, qui sera le moyen accidentel et non-coupable du côté de l'Église, la rendant effectivement co-Rédemptrice. Après cette mort mystique de l'Église contemporaine, que l'Antéchrist, pour sa condamnation, se réjouira d'enregistrer avec éclat, publiquement et formellement, sous son règne maudit qui, désormais, est imminent, l'Épouse du Christ ressuscitera elle aussi, comme le Christ, dans un cadre apocalyptique, eschatologique, plus belle, plus sanctifiante et plus glorieuse que jamais, la mort puis la résurrection d'Énoch & Élie sous le règne de l'Antéchrist en étant la parabole certaine...
 
        Mais je ne voudrai pas faire plus long ici, dans ce que je ne veux être qu'un bref Mot d'Accueil. Un peu de pratique, maintenant. Le visiteur de ce site, catholique ou bien non, que je salue ici cordialement in Christo Rege, pourra approfondir tous les mots que je viens d'écrire, forcément courts et appelant explication (mais très-soigneusement pesés qu'il le croit bien), d'abord dans la page "Pourquoi ce site ?...". Cette page, qui en outre lui donnera le plan du site, reprendra plus en profondeur et en détail la synthèse ici présentée.
 
        Ensuite de quoi, il pourra approfondir avec fruit l'un ou l'autre point désiré, dans les rubriques théologiquement très-fouillées qu'il trouvera à gauche de la page d'Accueil, dans les deux cartouches "La Passion de l'Église" "Articles de fond" (... je pense que le fidèle lefébvriste n'ira pas cliquer d'abord sur le lien "Réfutation de la thèse sédévacantiste" !). Il y aura aussi possibilité pour tout visiteur d'intervenir sur le site en m'écrivant par le "Contact". Si sa contribution enrichit et fait briller une facette du diamant de "LA PASSION DE L'ÉGLISE", elle pourra faire l'objet, avec mon éventuel commentaire, d'un nouvel article du Blog.
 
        Dans les actualités du Blog, qui n'auront sûrement pas une périodicité rigide, je tâcherai de commenter les nouveaux évènements importants ayant lieu dans l'Église, ou bien les nouveaux écrits sur "la crise de l'Église", à la lumière libératrice et sanctifiante de "LA PASSION DE L'ÉGLISE". 
 
        ... Ô visiteur !, si, en homme de bonne volonté, tu cherches sincèrement la vérité vraie en vérité de "la crise de l'Église" avec le salut de ton âme, tu seras, sur ce site, absolument comblé, grâce à Dieu beaucoup plus qu'au pauvre serviteur inutile que je suis (la révélation de "LA PASSION DE L'ÉGLISE" dans une âme est en effet Son oeuvre et non la mienne).
 
        Mais que si tu ne la cherches point, cette vérité, si l'esprit du monde et/ou la tiédeur, qui est le péché principal de l'Antéchrist, est ton idéal, alors, en vérité je te le dis, passe ce seuil en quittant toute espérance, comme dans l'enfer de Dante. 
 
        Tu n'as en effet absolument aucune chance d'y rester vivant dans ton péché.
 
En cette Pâques 2012,
Vincent Morlier,
Écrivain catholique.
 
 
 
 

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